Et là bizarrement, aucune pudeur musicale, il pourra s'agir de strictement n'importe quoi. On pourra même avoir honte de retrouver le morceau sur son iPod quelques mois plus tard devant une assemblée médusée. On se le réécoutera secrètement au casque le soir même et, en fermant les yeux, ces poncifs souvenirs d'été nous reviendront intacts au coeur de l'hiver. Et toujours ce même sourire idiot.
mardi 23 juin 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire