Une chanson pour l'illustrer parmi toutes celles qui peuvent exister, avec Holly Golightly et son terrible There is an end. Et c'est le retour de la douceur de 16 heures par la même.
Aussi l'occasion de montrer la prolifique et éclectique Holly Gollighty, capable de se muer en Nancy Sinatra comme sur ce morceau, ou de collaborer avec les White Stripes comme sur l'album Elephant (si, cherchez bien...) ou d'inspirer les Dirty Pretty Things.
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